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Du rite funéraire au deadbot, notre lien aux morts réinventé
La corruption inéluctable de la chair après la mort fait peur à l’Homme qui a du mal à se résoudre à une disparition « corps et âme ».
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La corruption inéluctable de la chair après la mort fait peur à l’Homme qui a du mal à se résoudre à une disparition « corps et âme ».
Ni champignon, ni plante, ni animal, mais un organisme unicellulaire eucaryote : une unique cellule avec des centaines de noyaux, capable de se déplacer, « d’apprendre » à aimer la caféine ou la quinine et de transmettre ses apprentissages à un congénère en fusionnant avec lui, qui se dessèche mais ne meurt pas…
Le faucon pèlerin - Falco peregrinus - fascine l’homme et son imaginaire depuis des temps immémoriaux. Aujourd’hui, l’espèce conquiert de nouveaux territoires, en particulier en ville, pour le plus grand bonheur des passionnés qui œuvrent pour sa protection.
Qui vous accueille dans le grand hall du Muséum ? Facile, me direz-vous : c'est l'éléphant. Impossible de le manquer : son corps imposant et sa trompe levée imposent le respect. Tout comme un chacun, vous vous arrêtez devant, peut-être même vous le photographiez.
La garrigue sent bon en ces premiers jours de printemps. Les insectes butinent sur les cistes, les thyms, les aubépines et les romarins couverts de fleurs.
Dans le cadre de l’exposition « Oka Amazonie, une forêt habitée », présentée au Muséum d’avril 2019 à juin 2023, la faune de cette région a été mise à l’honneur, nous renvoyant aux collections de zoologie issues de cette zone géographique de 84 000 km2 qui sont conservées au Muséum de Toulouse.
A l’heure ou le muséum de Toulouse propose une exposition sur les corps préservés, les scientifiques s’interrogent encore sur la façon dont il faut définir la mort elle-même.
La région de Castelnaudary (Aude) et en particulier la localité d’Issel, a fourni quantité de fossiles de mammifères, mais aussi de nombreux restes de crocodyliformes au cours du XIXe siècle. Malheureusement, la plupart de ces restes sont fragmentaires ou maintenant perdus.
Cette collection comporte 95 échantillons de ce célèbre site minéralogique, connu depuis la très Haute Antiquité.
Parmi les nombreuses collections de zoologie conservées au muséum de Toulouse, la collection de malacologie, qui renferme principalement des coquilles de mollusques, constitue la collection la plus importante en nombre de spécimens et en taxons avec celle d’entomologie.